En Bolivie, les Religieuses de Jésus-Marie travaillent en étroite collaboration avec la direction des écoles publiques des divers villages comme Kami, El Alto et Oruro.
Plusieurs des enfants qui fréquentent ces écoles appartiennent à des familles très pauvres qui ne peuvent offrir à leurs enfants le matériel scolaire dont ils ont besoin. Les résultats scolaires de ces enfants sont médiocres et souvent, en cours d’année, ils doivent quitter, car les frais de scolarité ne peuvent être acquittés par les parents.
Les religieuses paient les frais de scolarité des enfants qui sont parmi les plus pauvres et c’est à eux, d’abord, que sont offerts le matériel scolaire nécessaire ainsi qu’un repas par jour. De plus, des vêtements et des souliers sont achetés pour les enfants les plus pauvres et quelques-uns d’entre eux ont la chance de pouvoir participer aux cours d’informatique.
À Kami, il y a plusieurs familles démunies qui ont peu de ressources. Nombreux sont ceux qui travaillent à la mine, ce qui n’apporte que de maigres revenus. Il y a beaucoup de femmes monoparentales, des jeunes et mêmes des enfants qui vivent seuls.
Il y a des familles nombreuses qui n’arrivent pas à répondre aux besoins alimentaires, vêtements, ni aux coûts reliés à la scolarité des enfants.
«Malheureusement, il y a encore trop d’élèves qui sont privés d’une alimentation adéquate et qui auraient besoin d’aide pour leur matériel scolaire. Ces étudiants sont dans l’impossibilité de payer leurs cours d’informatique qui sont maintenant essentiels à une bonne formation.
Votre collaboration aide les enfants vulnérables qui vivent chez leurs grands-parents, avec leur père alcoolique qui ne s’occupe pas d’eux et qui souvent n’ont plus de maman. Ainsi, certains doivent travailler les fins de semaine parce qu’ils viennent de familles séparées et trop nombreuses. Avec votre aide, ces enfants pourraient avoir au moins un repas nutritif par jour ce qui les aiderait dans leurs études». S. Margarita – El Alto
«La ville d’Oruro est située à 3800 mètres d’altitude. Les terrains sont plats et peu fertiles à cause de la présence de sel dans le sol. C’est un ancien dépotoir plein de détritus. Plusieurs ne possèdent rien et leurs conditions sont misérables. Ils cherchent à gagner quelques revenus dans de petits travaux ici et là.
Ce projet nous permettra de payer les frais de scolarité des plus démunis. Grâce à votre aide, plusieurs enfants auront droit à leur seul repas de la journée !»